Bonjour Me Audette,
La présente fait suite à notre récente conversation de mardi dernier, pour vous aviser que je n’ai reçu aucune confirmation soumise via le courriel :
Je crois que je pourrais donner suite au rendez-vous que vous m’avez recommandé avec monsieur Gilles Chamberland en me faisant accompagner de mon amie de coeur laquelle est psychothérapeute confirmée et elle pourrait donner plus amples détails sur ma situation et sur sa perception de mon état qu’elle semble juger fort sérieuse.
A ma perception, j’ai parfois une certaine difficulté à accepter de subir :
de multiples tentatives de meurtre ou de risquer de subir des blessures sérieuses déguisées sous le couvert de défaillances mécaniques occasionnées à ma voiture qui semblent ressurgir dès que je deviens en mesure de démontrer vouloir reprendre une vie normale;
(Était-ce dans le but » de vouloir me faire bénéficier de l’assurance de la S.A.A.Q. comme moyen de survie? Serait-il plus simple de me recommander d’acheter des billets de loto chez un fournisseur en particulier?)
difficulté à accepter de subir :
des réminescences de stress post-traumatique qui ressurgissent dès que je prend l’initiative de travailler sur des ordinateurs, le tout survenant dans des circonstances suspectes ;
difficulté à accepter de subir :
de devoir accepter qu’une Ville puisse devoir soumettre de fausses allégations pour se défendre d’un simple jugement déclaratoire cherchant à statuer sur mes droits et se libérer d’erreurs dont on semble chercher à tout prix à me faire porter l’entière responsabilité:
difficulté à accepter de subir :
comme celle de m’imputer dans votre dernière requête d’avoir commis de nombreuses erreurs professionnelles comme ayant servi de motif de renvoi et qui si considérées seraient à tout le moins manifestement criminellement discriminatoires lorsque comparées aux énormes bévues administratives de ceux qui auraient du intervenir de façon adéquate et qui se camouflent derrière les décisions d’autres boucs émissaires que l’on souhaite faire taire ou faire monter en promotion…;
(Trop d’énergie pour une Ville à dépenser pour un seul employé disait-on, ou en sommes nous jusqu’à maintenant?)
difficulté à accepter de subir :
d’alléguer dans votre dernière requête, que le soussigné n’aurais soumis qu’une seule première requête en 47,3 formelle contre mon syndicat alors qu’au contraire vous savez fort bien que j’en ai soumise au moins cinq au fil des ans tant au ministère du travail ou au défunt tribunal du travail en plus d’au moins cinq requetes a la Sécurité Publique, des démarches qui ont été toutes systématiquement ignorées et ce malgré avoir signalé que l’on invoquerait éventuellement la théorie des latches (laches ou lâches?) et espérer justifier ne pas intervenir;
difficulté à accepter de subir :
devoir accepter que votre dernière requête en rejet soit soumise manifestement en retard malgré les subterfuges en coulisse pour la faire passer, laquelle est entièrement basée sur des « faits » qui auraient été à débattre sur le fond alors que nous n’en sommes qu’a un débat de forme et que malgré tout elle puisse passer en douce devant les trois (3) juges grassement payés pour le prix de quatre (4) …
Comment ne pas oser penser dans le contexte d’une paranoia justifiée:
que la Ville chercherait à obtenir de se soustraire à ses obligations et qu’elle pourrait être de connivence en plus d’essayer de me faire perdre ma santé physique et mentale, d’essayer de me faire perdre tout recours sans obtenir la moindre compensation monétaire;
par ailleurs que ceux qui cherchent à tout prix à me faire passer pour déficient pourraient aussi s’en prendre à la Ville pour faire croire à des passages à l’acte bien entendu comme provenant de ma part.
Alors j’ai besoin d’aide pour voir plus clair dans le déroulement de cette introspection de votre privilège accordé de choix de moyens, sans devoir indument éclabousser sur tout le monde pour y parvenir,
Merci de m’aider à me rassurer quant à vos intentions réelles en posant un geste concret en ce sens, qui aurait au moins le mérite de faire baisser la tension.
Un tension grandissante qui risque de faire passer à un passage à l’acte encore plus percutant de la part de ceux qui se sentent de plus en plus coincés dans cette situation qui loin d’être réglée vous avait pourtant été fortement décriée en temps propice comme étant inommable.
La sentence pour torture n’a que 14 ans d’emprisonnement maximal versus les 21 ans de climat de torture et survie à encaisser et les pertes de vies et matérielles assumées.
Ville de Mascouche a accordé une pension décente à un pédophile renvoyé parce qu’il travaillait aux loisirs, était-ce le résultat d’un acte responsable ou juste le résultat d’une manoeuvre d’un administrateur ou juge pris dans un chantage parce que lui-même pédophile?
Devrais-je impliquer Mascouche et révéler les dessous du scandale du Maxi Sexe et de la pression écrasante pour essayer de nous faire perdre nos emplois pour « régler » un conflit de travail aigu sous le couvert de la soit disant morale publique?
Est-ce d’avoir admis à la cour et vis à vis des médias ma responsabilité dans le fait de m’être trouvé dans cet endroit malsain qui aurait justifié de m’avoir écarté par la suite?
Pourquoi les policiers de Mascouche sont-ils désormais les mieux payés en Amérique?
Pourquoi la Ville a signé après le « jugement irresponsable » de la C.R.T. du 15 mai 2005, un protocole d’entente avec le syndicat pour rembourser entièrement un policier qui se verrait envoyé en prison et suspendu injustement?
Était-ce un preuve supplémentaire de discrimination à faire mettre en surface?
Pourquoi Michel Thériault s’est rendu à la cour criminelle à Trois-Rivière le 16 dec 2005 était-ce pour répondre à des accusations criminelles portée en douce contre lui?
Pourquoi a t’on au contraire en janvier 2006 passé des accusations criminelles de pot de vin contre un policier de la SQ oeuvrant dans le district de Trois-Rivière à Joliette?
Pourquoi a t’on considéré lui faire passer son temps d’emprisonnement de un an à purger au chalet chez lui?
Était-ce pour préparer le terrain au fait d’avoir passé dix ans d’isolement, séparé de ma femme comme étant un véritable emprisonnement?
On deviendrais fou à moins que cela et comment ne pas considérer cela comme une conspiration criminelle?
Cela mérite certainement comme le précisait l’hon Jacques Dupuis, d’être signalé comme signes avant-coureurs d’un malaise et de devoir éventuellement faire prendre des responsabilités.
Meilleures salutations,
J. Pierre Legare