Rencontre frileuse au Conseil
Le 18 septembre 2006, la victime excédée de subir du rejet et toute une série de méfaits insidieux s’adresse au Conseil de Mascouche pendant la période de questions pour savoir si ils sont de connivence avec les méfaits causés sur sa voiture qui se transposent depuis peu sur celle de sa conjointe. Une question s’adresse au maire, pour savoir si quelqu’un a vraiment proposé et appuyé la résolution de renvoi qui me concerne. Le soussigné demande si le but des oppresseurs qui l’assaillent est de souhaiter que la victime saute les plombs comme c’est arrivé avec l’incident survenu à l’université récemment ou commette un acte susceptible de le renvoyer définitivement de la police pour que le manège cesse. « Si c’est juste cela que cela prend, si vous le voulez, je peux prendre le micro et le fracasser sur le bureau. » Donnez moi ma pension ou dites moi à quel médecin je peux me référer. Je leur dit que mon fils va se retrouver en France sous peu hors de danger (on a fait exploser son local de travail un 26 mars jour de fête de sa mère) et que j’ai un rendez-vous de prévu avec mon médecin prochainement et que si rien ne change je vais vous beurrer avec les médias d’information.
Le maire Marcotte m’invite à m’asseoir de nouveau dans la salle et attendre après la séance pour qu’il puisse m’aider et à la fin il m’adresse comme promis une écoute. Je lui dit que je me sens comme un volcan à l’intérieur qui n’a juste que la fenêtre d’un petit trou pour pouvoir s’exprimer. Il me dit finalement que présentement, il ne peut pas m’aider mais de lui adresser un appel téléphonique cette semaine et il pourra me dire à qui m’adresser pour recevoir cette aide.
Des aspects non retenus de la S.Q. pour justifier ses accusations frivoles
Questions sur des accusations de dangerosité en remerciement d’aide