La plainte de fraude de l'institution financière laissée pour compte

Quelques ÉPISODES PSYCHOTIQUES TOUJOURS NON RÉSOLUES

    1.      En 2002, le soussigné était co-propriétaire avec son épouse Marie Boileau, du 279 chemin des Huards à Boileau dont l’évaluation municipale était à l’époque aux environs de 110,000$.
    2.      Les paiements hypothécaires du patrimoine de Boileau s’établissaient à 615.49$ mensuellement retirés autour du 13 du mois.
    3.      Un solde de  677.75$ figurait au compte le 31 mai 2002.
    4.      Le 5 juin 2002 apparaît un retrait injustifié à Bell Sympatico de 51.71$, malgré que le service ait été contremandé depuis mars ou avril 2002. Bell remboursera finalement le retrait injustifié en novembre 2002, par l’envoi d’un chèque.
    5.      Le 12 juin suivant, juste avant la prise du prélèvement hypothécaire, apparaît un retrait de 31.60$ selon toute apparence frauduleux, désigné sous le vocable « Retrait divers au comptoir /30995» sous le code « DT » qui signifie: Transaction retrait divers en caisse selon l’inventaire des Codes de Desjardins.
    6.      Le prélèvement aura pour effet d’abaisser le solde à 593.54$ tout juste sous le seuil du paiement hypothécaire requis de 615.49$
    7.      Le 13 juin 2002, l’institution prétendra ensuite un intérêt hypothécaire en retard non payé de 1032,16$
    8.      Le 17 juin 2002, l’institution gèlera et empêchera à l’encontre du soussigné, le moindre accès au compte via Internet ou autre.
    9.      Le 20 juin 2002 , l’institution affichera une célérité à se prévaloir d’un préavis d’exercice d’un droit hypothécaire afin de forcer une vente en justice du patrimoine.

  1.  Le 25 juin 2002, le soussigné avisera Francis Caron et Jean-Guy Vermette leaders syndicaux de sa situation financière fort sérieuse. Ces derniers ignoreront souverainement la demande.
  2.  Le 16 septembre 2002 l’épouse du soussigné décèdera des suites d’un cancer du sein très agressif.
  3.  Le 17 septembre 2002, l’immeuble de Boileau se verra vendu en catastrophe à la tante du soussigné Michèle Deslauriers, cette dernière sacrifiera ses REER à fort taux d’imposition pour assurer la sauvegarde de l’immeuble. En 2012 le fils du soussigné reprendra le patrimoine avec une hypothèque triplée de ce que devait le soussigné en 2002.
  4.  Francis Caron  leader syndical conseillera plus tard le soussigné, d’aller plutôt se faire soigner dans la tête. Le soussigné lui recommandera de ne pas trop s’éloigner puisque son arrestation ne devrait pas tarder. En 2014, Ville de Mascouche planifie d’ériger un nouveau poste de police juste en face de la maison de Mascouche, saisie du soussigné.
  5.  Le soussigné fut injustement dépossédé de sa maison de Mascouche en 1998 grâce à des tractations de la Caisse populaire de Mascouche laquelle s’appropria par une succession de prises injustifiée de frais d’insuffisance de fonds pour honorer un paiement en 1 ère hypothèque et provoqua la reprise de l’immeuble par le créancier de 2 ème hypothèque en novembre 1998.
  6.  Le 23 avril 2004, le soussigné remet à la S.Q. un CD de plainte contre la Caisse populaire et une série de transactions douteuses ainsi que des allégations de conspiration et parjures contre la police de Mascouche.
  7.  Francis Caron se retrouvera ensuite nommé directeur de police tandis que Jean-Guy Vermette se retrouvera nommé directeur-adjoint et les policiers de Mascouche se verront parmi les mieux rémunérés au Québec.

J. Pierre Légaré