1
20100130
Rupture Rachel
Rachel me
laisse sous prétexte que je suis devenu trop anxieux.
Je me sens manipulé et je n’accepte pas d’etre
traite ainsi.
2
20100130
Cotisation fédérale
Réception de
correspondance du revenu fédéral qui réclame plus de 12000$ d’impot non payé sur un revenu que je serais incapable
d’établir.
3
La série noire
de bris mystérieux
Les malchances auraient peut-être eu raison de notre relation, en 24
mois de fréquentations, un moteur d’auto brûlé presqu’à deux reprises,
un différentiel de 5000$ brûlé, deux dégâts d’eau à son chalet, un
élément de poêle brisé, une entrée d’eau de laveuse percée, une entrée
d’eau de chalet ciselée, un bouchon de bateau enlevé et disparu, une
entrée de gaz de moteur de bateau bouchée, deux lecteurs de DVD brisés
en même temps, un bloc d’alimentation et l’ appareil de cadre photos
brisé, des lunettes Serengetti volées, une caméra
volée, un appareil à
nettoyage haute pression brisé, une tondeuse brisée, dans le sud un
appareil à air climatisé brisé, une laveuse à vaisselle brisée, des
chaises de jardins en composites neuves jetées aux poubelles, un
partenaire drogué de tranquillisants qui a réaction de penser qu’il a
pu subir un méfait, sa caméra bousillée, à part de cela rien de
vraiment particulier, ce sont des choses qui arrivent à n’importe qui
et elle semble avoir atteint sa limite de malchance, parce que l’on ne
parvenais plus à réparer plus vite que les dommages survenaient. A mentionner
le harcèlement subit du fisc de la Floride qui exige des redevances depuis
cinq ans pour location de son condo
Je n’ai même pas rencontré la prospect suivante
encore qu’elle a déjà
subi un dégat d’eau dans son sous-sol. Micheline qui
aura subi plusieurs dégât d’eau important même après
la rupture et un cancer du sein. Mireille qui subit une maladie de rein très
rare, deux patients seulement au Québec. Ensuite ce sont des fuites
inexpliquées qui apparaissent dans la cave ce printemps à un endroit pourtant
bien drainé depuis plus de 23 ans provenant laveuse à vaisselle.
4
La connection internet non partageable avec les voisins qui
survient dès que je suis en mesure de la partager.
5
Pour l’auto de
François, la serrure avant a été trafiquée de telle sorte que je puisse
entrer
dans le véhicule sans problème mais une fois à l’intérieur j’y suis resté
piégé. Toutes
les portes étaient barrées et la batterie que j’avais chargée il y environ un
mois était
complètement à plat.
Impossible d’ouvrir les fenêtres et je croyais que j’avais affaire à
des barrures électriques. Le bouton rouge de la
porte chauffeur
n’était pas ressorti vers l’extérieur. J’ai alors ressenti une forte
crise de claustrophobie qui me rappelait lorsqu’on m’a emprisonné dans
un petit réduit en acier et que j’ai failli mourir étouffé tellement
j’étais angoissé.
Heureusement que j’avais mis des pantoufles, j’ai donné une solide
ruade dans la vitre du chauffeur et la vitre a éclaté en mille
miettes. J’ai pu constater que j’aurais pu ouvrir la porte arrière qui
comportait un levier de déverrouillage caché que je n’avais pas décelé
dans ma panique.
Normalement l’indicateur de porte verrouillée aurait du être ressorti
sur la porte avant puisqu’elle n’était pas verrouillée pour y entrer.
J’ai mis la batterie sur le chargeur et il a fallu un bon cinq heures
pour juste démarrer le moteur. Le moteur a démarré sans problème.
Ensuite je constate qu’il n’y a aucun effet selon que l’on change le
bras de transmission dans la position que l’on veut c’est comme si le
contrôle de transmission était complètement débranché. Même chose pour
le frein, il est mou comme de la guenille comme si il était débranché
du cylindre de compression et n’aurait aucun effet.
Est-ce une caractéristique de l’auto?
Est-ce que j’appelle la SQ ? C’est Sylvie qui l’a apportée sur place,
moi je l’ai stationnée sans problème dans le fond, la transmission
semblait fonctionner très bien, du moins pour l’avant et l’auto n’a
jamais bougé de là depuis.
6
Grande anxiété
ressentie lors d’un incident hotel Carling avec
l’insistance du client qui trouve sa chambre trop proche alors que suite à
l’ordre de ne pas changer de chambre. A valu
un congé administratif payé.
7
Anxiété de
constater que l’on introduit constamment des erreurs par intrusion
d’ordinateur sur mes rapports financiers à l’hotel
Carling. Lorsque j’en parle à Rachel cela tourne au drame et devient un motif
d’exclusion pour paranoia. Je dois me faire
systématiquement des copies personnelles pour que le phénomène cesse.
8
Été 2005 Les
intrusions à l’ordinateur pour falsifier mes données chez 2020, la perte
d’emploi très humiliante subie chez Technologie 2020. Le traitement de ma
plainte de harcèlement. La rupture de Louise qui me fait songer au suicide.
9
Les manœuvres
pour ne pas donner suite à mon emploi de répartiteur inspecteur des voyages
d’asphaltes chez Simard Beaudry une firme de Accurso…
10
Les manœuvres
de manipulation de Micheline Dumais qui me brise le cœur de septembre 2004 à
juillet 2005 lorsqu’elle s’est enfuie terrorisée du jour au lendemain alors
que nous étions entrain d’amorcer une relation très prometteuse et
authentique.
11
Les deux bris
suspect et diverses crevaisons subies sur l’auto de Micheline Dusseault, la goutte qui a fait déborder le vase pour
aller m’adresser au Conseil pour savoir s’ils étaient de connivence avec
cela.
12
Le jugement de
la cour d’appel qui rejette ma requête en appel pour permettre au tribunal
inférieur de se prononcer sur la validité d’une résolution invalide de
renvoi. Les permutations de juges en
audition.
13
Le constat de
mensonge de la Ville de Mascouche qui prétend faussement sur une requête de
rejet nettement soumise en retard et invalide que le plaignant en était au
dépôt d’une première requête en 47,3 alors que la documentation accompagnée
en présente trois autres. Le sentiment d’impuissance de se mesurer à un
Goliath payé par toute une population.
14
Le refus du
ministère des Affaires municipales de lever le petit doigt pour vérifier la
légalité d’une résolution de conseil invalide.
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Le refus d’un
avocat de Laval de négocier une fin d’emploi malgré un diagnostic de maladie
mentale qui dénote une incapacité d’intervenir.
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Le jugement du
juge Lanctot qui rejette une demande de jugement
interlocutoire sur la validité d’une résolution de renvoi en se basant sur
des préceptes totalement contraires au dispositions du code de procédures
civiles et qui escamote ses motifs en justifiant son jugement à la cour
d’appel.
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L’attitude du
chef du syndicat Francis Caron de refuser d’intervenir lorsque le plaignant
est sur le point de perdre sa maison et sa demande d’aller se faire soigner
dans la tête. L’attitude de Thériault de prétendre qu’il n’a pas de dossier à
soumettre alors que l’ex directeur Coté laisse entendre qu’il lui a laissé un
dossier à confier au ministère de la Sécurité publique.
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La mise de
menottes par le justicier de la SQ venu m’arrêter sans mandat le 20 septembre
2006, l’arrêt impromptu de son auto aux abords d’un précipice dans les
Laurentides, je croyais ma dernière heure venue, que l’on allait secrètement
m’assassiner. Ma résignation à accepter d’en finir et aller retrouver feue
mon épouse Marie.
19
La comparution
à la cour, complètement abasourdi, les menottes aux mains et aux pieds. Trop
aphone pour demander du secours à Me Julius Grey présent sur place. Mes yeux le suppliait
d’intervenir.
20
La comparution
à la cour, complètement abasourdi, les menottes aux mains et aux pieds. Trop
aphone pour demander du secours à Me Julius Grey présent sur place. Mes yeux le suppliait
d’intervenir.
21
L’intimidation
à bord de l’autobus par les menottes aux mains et aux pieds avec le blindage
supplémentaire aux mains, se voir enfermé dans une cage. Le caid qui me hurlait de dévoiler les motifs d’être détenu
dans l’enclos réservé à la « Protect« . Je
lui ai avoué avoir assassiné mon patron qui me harcelait de questions.
22
Le sentiment
d’insécurité profonde ressenti lorsque l’autobus de détenus arrête pour faire
le plein d’essence. La senteur des vapeurs d’essence versus la senteur
suffocante de la fumée de cigarette de l’intérieur. La peur qu’un détenu
jette son mégot négligeamment et que le feu
s’embrase avec la certitude de rester pris dans cette éventualité.
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L’anxiété
devenu excessive au point d’être entrain de m’asphyxier et de ressentir un
resserrement et étranglement psychologique au niveau de la gorge, lorsque
laissé sans surveillance pendant au moins vingt minutes dans un confessionnal
en cage d’acier à l’arrivée du centre de détention de St-Jérome.
Le regard effrayé du geolier venu me sortir de là. Mon
désarroi en sanglot que l’on devait me conduire à l’hôpital pas dans une
prison. Les séquelles de claustrophobie aigue qui demeurent depuis ce jour,
notamment lorsque emprisonné dans une auto avec portes électriques et la
batterie à terre.
24
L’isolement en
cellule solitaire qui s’ensuivit: 24 heures tout nu et grelottant avec une
carpette en mousse épaisse pour empêcher le suicide. La médication accordée pour faire baisser l’anxiété qui fonctionne.
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L’anxiété
constatée lorsque le 25 septembre 2006, la geolière
devant témoins refuse de m’accorder d’aller pouvoir rencontrer le psychiatre
Dr Chamberland tel que déjà prévu, alors que l’ordonnance de la cour était de
le devancer si possible. Mon sentiment de me sentir piégé pour donner un
prétexte à me détenir de longs mois dans des délais d’attente de rendez-vous.
Ma résolution de plaider coupable le lendemain pour me sortir de cette
situation seule manière de pouvoir m’adresser au juge afin de donner ma versoin des faits que l’on a systématiquement écarté.
26
L’anxiété qui
résulte lorsque la cour refuse de laisser Micheline ma copine
psychothérapeute s’exprimer sur mes conditions de libération à mon retour
d' »observation » d’une semaine à l’hopital,
abruti par des contentions chimiques. Le juge m’y avait pourtant envoyé juste
pour savoir si j’étais apte à plaider coupable.
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L’anxiété de me
sentir traqué lorsque la Sureté du Québec de St-Sauveur se met à quadriller
le secteur de Micheline à mon retour chez elle, ce qui m’a valu d’aller
stationner l’auto dans un endroit isolé dans le bois qui me permette de me
rendre à pieds par la cour chez Micheline. Sa réaction
étonnée de me voir si anxieux.
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L’anxiété
ressentie de se voir injustement confiné chez mes parents pour au moins six
mois, de se voir privé de se faire juger par juge et jury et de ne pouvoir
faire la moindre représentation sur mes conditions de libérations. Le
sentiment d’injustice qui résulte de se voir affublé de conditions excessives
de cautionnement de 4000$ si ne m’y conforme pas tout en étant trop
irresponsable et forcé de demeurer 24 heures sur 24 chez mes parents ou en
leur compagnie ou au contraire de ne pas résider chez eux s’ils s’y touvent selon l’interprétation que l’on porte aux
conditions de libération.
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Les contraintes
inutiles de devoir rencontrer un médecin alors que mes rendez-vous déjà pris
étaient escamotées par ma détention. La perte de mon médecin de famille qui
s’ensuivit sachant qu’ils sont déjà très rares.
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L’anxiété
momentanée ressentie lorsque le médecin me menace de me faire interner à
l’hôpital psychiatrique et forcer un dosage au risperdal
si je ne me plie pas à prendre sa médication de Zeldox
passé à 60 mg. Mon départ du bureau pour le remercier de ses bons soins à
m’avoir procuré une pension qui avait permis de baisser radicalement mon
niveau d’anxiété.
31
Le climat de
terreur psychologique ressenti en 2001 par les exactions du fisc fédéral en
janvier qui saisit illégalement et gèle mon compte avec la complicité de la
Caisse populaire alors que je suis affecté à l’étranger.
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Le climat
d’anxiété constante de se faire démolir ses installations informatiques,
monter des directoires fictifs dans des installations, entraver dans sa
mission d’enseignement au travail chez Comdic au
point d’en venir à neutraliser son ordinateur le week-end pour mettre fin au
processus. Le renvoi qui résultera parce que l’on « tourne en rond »
du patron après m’avoir dit que j’étais fait très fort en revenant de deux
campagnes à l’étranger qui ressemblaient à une initiation d’installations
très laborieuses. Les excellentes références obtenues du patron
par la suite.
33
Le député qui
lance le ballon médiatique que les pensions de conjoint survivants devront
être limitées à trois ans après le décès.
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Les tours de
montagnes russes avec Mireille, Diane, Michèle, Thérèse, Andrée, Hélène,
Micheline, Monique, Doris, Louise, Thérèse, Christiane, Micheline et Rachel. Puis Mary, Francine, Nicole, Danielle, Suzanne, Claudine,
Jocelyne,
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Le départ de
chez Star Trek vu l’excès d’angoisse ressentie de vouloir bien desservir la
clientèle versus l’attitude manifeste de faire mine de « se foutre de la
clientèle » affichée par l’employeur.
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Le départ de
Carling compte tenu d’une difficulté de m’adapter à des scénarios de
frustrations dont l’attitude de ma nouvelle patronne qui semble hypocritement
chercher à m’indisposer en escamotant mon droit d’ancienneté et faisant mine
d’empêcher des opportunités de pouvoir partager des week-ends avec mon amour
Rachel.
37
2006-01
L’extrême
anxiété résultant du rejet par le juge Carol Richer de ma requête pour
torture en janvier 2006 qui se prétend non compétent pour intervenir dans une
affaire de torture criminelle comme motif de rejet. Le juge s’enfuit de la
salle d’audience affichant l’épouvante sous les huées de la foule scandalisée
de son comportement. Il venait tout jute de perdre le temps précieux de la
cour à ré-écouter pendant une vingtaine de minutes
une bobine magnétique pour tenter de résoudre un litige entre la couronne et
la défense sur une mésentente au sujet d’une demande de remise d’audition
dans le cours d’un éventuel procès pour une accusation sommaire plutôt
banale.
38
05111996
Faux Renvoi
L’extrême
anxiété résultant de la réception chez moi d’une lettre de la greffière Me
Lord décrétant mon congédiement faisant suite à l’anxiété de l’ultimatum de
devoir renoncer à laisser tomber mes griefs pour garder mon emploi.
39
1997
L’extrême
anxiété résultant des délais d’arbitrages qui s’étiraient sans fin sur de
longs mois, le refus d’émettre une injonction pour accomoder.
L’effondrement en cour qui a valu un prétexte à ajournement lorsque le
plaignant évoque une chimaire suicidaire en sortant
d’une réunion de harcèlement.
40
1998
Le rejet
systématique des 100 plaintes de parjure par la déontologie policière sous
prétexte de prescription que l’on s’est dépêché à mettre sous loi lorsque le
plaignant de peine et misère a parvenu à les soumettre malgré ses incapacités
post-traumatiques.
41
2002-03-11
L’extrême
anxiété résultant du refus du juge du tribunal du travail d’intervenir avec
priorité dans une cause de 47,2 dont il avait pourtant préservé les droits
sans se préoccuper du renvoi qui est pourtant survenu au lendemain d’avoir
permis de faire entendre des griefs.
42
1998-04-01
La sentence arbitrale
L’extrême
anxiété résultant à la réception de la sentence arbitrale de renvoi à
combattre tout seul en évocation pendant que l’avocat trouve comme excuse de
trouver la paranoia pour justifier de ne plus
intervenir.
43
2006-01-30
Le jugement interlocutoire
L’extrême
anxiété résultant du rejet (préliminaire selon la Ville) par le juge Lanctôt de m’accorder le droit de poursuivre mes
démarches pour une requête en jugement interlocutoire appelant à se prononcer
sur la validité d’une résolution de renvoi.
44
La cour d’appel
L’extrême
anxiété résultant du rejet discrétionnaire approuvé par la cour d’appel d’ une requête en jugement interlocutoire appelant à se
prononcer sur la validité d’une résolution de renvoi.
45
Le tribunal des
droits de la personne
L’anxiété
résultant du rejet discrétionnaire de la fonctionnaire qui décide de ne pas
donner suite à une plainte pour discrimination.
46
Le dossier
refilé à la S.Q.
L’anxiété
résultant du ministre de la Sécurité publique de confier le dossier à la
section disciplinaire de la S.Q. qui devra enquêter sur ses patrons malgré les recommandation de la Commission Poitras.
La diversion affichée par le ministre qui laisse en poste des policiers
douteux de Kanésataké en poste pour éviter des
effusions de sang.
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1993-01-30
Le montage du
policier dangereux
La suspension
administrative sans expliquer les motifs qui résultait d’une conspiration de
vouloir faire arrêter la victime sous le faux prétexte d’avoir menacé ses
hommes avec son arme.
48
1992-05-17
Le montage de
la bombe
Le climat de
terreur imposé au soussigné pour avoir utilisé son potentiel dans l’explosion
d’une bombe artisanale.