PLAINTE PRINCIPALE

 

PLAINTE PRINCIPALE

 

 

PLAINTE PRINCIPALE

La victime
Jean-Pierre Légaré se plaint par les présentes d’avoir fait
l‘objet
d’une
conspiration criminelle pour en arriver à le limoger de la Sécurité publique de

Mascouche.

Le mobile
consistait
à empêcher la victime d’obtenir et de garder son grade de sergent
et
surtout d’empêcher de l’avancement qui sembl
ait
imminent compte tenu de certaines
qualités que possédait la victime au niveau de l’analyse et de l
informatique
et qui porta
it
ombrage à cert
ains leaders syndicaux.

Les événements
se sont déroulés entre 1979 et 1997 à la suite desquels la victime a été
démise de ses fonctions le 5 novembre 1996
. La
victime a ensuite été maintenue privée
de son emploi
à l’issue d’une sentence arbitrale émise le 17 mars 1998. Lors
de
l’audition du grief de renvoi et autres plusieurs témo
ins
se sont aventurés dans des
allégations mensongères qui ne peuvent qu’êtres dénoncées
à titre de
parjures.

Plusieurs
comportements de nature criminelle se rattachent à l’une ou plusieurs de des
catégories suivantes
:

Déconsidérer
la victime auprès de ses col
lègues;

Discréditer
la victime dans son travail

Isoler la
victime
;

Empêcher
la victime de s
exprimer;

Compromettre
la santé de la victime

L’ensemble
de ces caractéristiques s’apparente à du mobbing une sorte de lynchage
collectif, qui pour des motifs de jalousie ou autre confirme
l’intention
illicite de
soustraire la victime de son milieu de travail
.

La
sentence arbitrale n’avait pas pour but de procéder
à une
enquête exhaustives sur les
intentions des intervenants dans cette histoire mais seulement confirmer si oui
ou non il
était raisonnable que la Ville soit fondée de me
ttre
fin à l’emploi de la victime au moment
de la prise de décision avec les faits qu’elle possédait en main
. Voir
points de droits
onglets 1 à 14)

Résumé et historique du dossier

Discrimination dans les promotions et le travail

En 1982,
le plaignant se voyait refusé d
être promu
suite à un affichage en accord avec la
convention collective pour deux postes de sergent
. Le
syndicat négligea de porter grief
tandis que le directeur prétexta qu
il sagissait
d’une décision du Conseil munic
ipal. En
réalité c’était à lui que revenait la décision de nommer ou pas
. Il
fut d’ailleurs expulsé du
test de sélection à Nicolet pour son comportement manifestement biaisé en
faveur de son
favoris qui ne passait pas les normes
. Voir
onglet 15)

Le
harcèlement se perpétue à la suite du deuxième concours de promotion survenu en

avril 1986. Le 22 janvier 1987 on lui refuse de lui
accorder sa permanence notamment
à
cause de sa vision ou de son approche communautaire de la
police. Deux mois plus tard,
on révise à la hausse son évaluation pour dire qu’il revenait de loin et
finalement lui
recommander sa permanence
. Onglet 16)

Page 1 sur
12

 

Depuis
1982 le plaignant est reconnu comme personne ressource en informatique. En
début de 1991, le plaignant se voit confier le mandat de démarrer le système
informatique
sans qu’il soit reconnu comme étant la personne responsable de son élaboration
. Le

plaignant tente de négocier des conditions équitables et se voit écarté
définitivement du
dossier. C’est à partir de ce moment que l’on cherche définitivement à
écarter le plaignant
du Service de Police. Onglet 17)

A partir
de ce moment l’on cherche manifestement à épingler le plaignant en lui
cherchant toutes sortes de vétilles que l’on va tenter de capitaliser lors
d’une rencontre le
02 octobre 1991. L’on déformera les faits pour tenter de faire croire au
plaignant qu’il
affiche des faiblesses marquées notamment au chapitre des relations
interpersonnelles.
Onglet 18) On lui dit que dorénavant on va lui écrire pour lui adresser des
reproches et
qu’il aura l’occasion de donner son point de vue. Le plaignant dévoile sa
réponse face
aux reproches qui se résume à faire de son mieux pour améliorer ses relations
interpersonnelles. onglet 19)

A son tour
le plaignant se plaint par écrit le 29 avril 1992, des agissements
d’insubordination et manque de professionnalisme de certains membres de son équipe
.
En réponse sans avoir rencontré le plaignant, Pierre Daigneault
statue le 07 juillet 1992
qu’il ne s’agit pas de manques mais des vieux conflits qui perdurent
. Onglet
20)

Le
plaignant se voit ensuite suspendu avec solde suite à une lettre onglet 21)
rédigée le 05
mai 1992 par les subalternes du plaignant où on lui reproche seulement des
propos tenus
à Morin (septembre 1991) et Daigneault (novembre 1991)
. L’instigateur
de la lettre Jean-
Pierre Monette viendra ensuite se parjurer en 1997 pour dire que le plaignant
avait traité
Allard le 22 avril 1992,
« d’hostie
d’incompétent» (Onglet 41 notes sténographiques
pA017). Appelé à expliquer le terme
« ... sentant le
besoin de s’imposer verbalement
presque physiquement
... » onglet 21), Jean-Pierre Monette
explique
« … qu’il
avait
entendu la claque sur la gueule partir avant qu’elle ne parte mais elle n’est
jamais

venue ... » PA013 onglet 41)

Lorsque le
plaignant émet l’hypothèse de se défendre et de faire appel à son syndicat pour

le faire, le 8 juin 1992, Pierre Daigneault laisse entendre au directeur, que
le plaignant a
peut-être émis des propos qui sont inquiétants pour sa santé et pour celle des
autres. V-
58)

La
psychose atteint un palier plus élevé lorsque après à peine quelques 28 jours
de travail,
la nouvelle équipe confiée au plaignant trouve un prétexte pour créer un crise
de toute
pièce et alléguer dans une lettre apocalyptique de faux-message crim
inel
onglet 22) que le
plaignant est devenu dangereux pour ses propres hommes, comparant la situation
au
forcené de Polytechnique ou au policier de Ste Foy.

En mars
1993, le directeur Paterson va interdire au plaignant de s’adresser au
personnel
policier ou de se présenter au poste tant que le plaignant n’aura pas subi des
tests à
Nicolet. Sentant sa sécurité prise à partie, le plaignant loge une plainte au
ministre de la
Sécurité Publique Claude Ryan afin d’intervenir
. Onglet
23)

Le 20
avril 1993, le plaignant revient de Nicolet et se représente au poste pour
reprendre
le soir même sa fonction et signer des registres. Le Sgt Frenette laisse
entendre dans une
lettre le 28 avril 1993 onglet 24) qu’il a perçu le plaignant comme étant
dangereux parce
que son regard ne pouvait dissimuler une fatigue certaine
.

Le 28
avril 1993, le directeur William Paterson recommandait le renvoi du plaignant
en
s’appuyant sur le rapport de l’Institut de Police dans lequel le psychologue
recommandait
au plaignant de ne pas reprendre son rôle de chargé de relève
. Il
ajoutait que les trait de
personnalités et les intérêts ne correspondent à ceux recherchés d’un policier
quelque soit
le grade, sans toutefois spécifier ce qui est recherché. Onglet 26) Par contre
selon la
teneur des tests psychométriques joints il serait démontré que le plaignant a
un profil
parfaitement conciliable avec le métier de policier et qu’il serait trop calme
ou trop créatif
pour demeurer policier à Mascouche
.

Page 2 sur
12

 

Lorsque la
Ville
songe à réintégrer le plaignant
sur la patrouille
sans poste de
com
mandement, le sergent
Frenette amorce
une pétition pour empêcher
que le plaignant
ne p
uisse fournir
une
prestation de travail sous prétexte
de la sécurité du personnel et que
le retour
nest guère
rassurant
, aux vues et sues des dirigeants
syndicaux qui ne la signent
pas
. Onglet 26)

Le 30 septembre 1993,
le plaignant dépose une
poursuite symbolique contre son syndicat
et son l
eader Michel
T
hériault réclamant une somme de
14900$, onglet
27). Le 02 juin
1994, le
plaignant et sa famille
déposeront un
e poursuite de 470
000$ contre V
ille de
Mascou
che pour les sévices
encourus
. Onglet 28) La poursuite
sera
rejetée sous prétexte
que l
e débat doit être
débatt
u en arbitrage en vertu
de la convention collective. Or
le
plaig
nant nest pas
p
arti aux griefs et doit compter sur
son s
yndicat pour le défendre. Une

situation que Daigneault
considérait danger
euse en juin
92
, selon longlet 18)

Le 4 août 1995,
l
e plaignant sattend à enfin
pa
sser en arbitrage le 13
septembre
prochain,
pour auditionner les griefs contestant
sa rétrogradation. Le
directeur de la Ville
,
Luc Tremblay envoie au
plaignant une inv
itation à fléchir
sur son avenir à la
Ville de
Mascouch
e. Il impute au plaignant des difficultés à se
conten
ir et des problèmes de
comp
ortements et semble
reprocher au plaig
nant de continuer à se
défendre en déposant
des g
riefs ou des poursuites
et il veut que cel
a cesse. Il
constate que la problématique
s
étend maintenant
dans les
interventions du plaignant
avec l
e citoyen et s’appuie sur les
rapp
orts de Nicolet
p
our justifier une inaptitude
à
commander et l’empêcher
de réintégrer
son g
rade.

Le 31 août 1995,
le p
laignant dépose une poursuite
de 2500
0$ contre le psychologue de
Nico
let Claude
Gu
indon pour ses rapports qui laissent
enten
dre que le plaignant est inapte
à comm
ander des hommes
et sur lequel s
est appuyé la Ville pour
démuni
r le plaignant de
son gra
de. Larbitre Gagnon conclura en 1998 dans
sa
sentence de l’inutilité
et de sa non
validi
té notamment pour sa superficialité
et
lomission selon la preuve
que le

psychologue
n
aurait même pas pris la peine de consulter
les
subalternes immédiats du
plaig
nant. Le psychologue
témoignera lui-m
ême que son rapport
ressemblait à une job de
bras
à la perception
d
e son syndic-adjoint qui avait aussi
en
main les protocoles des tests.

Les griefs
t
ardent anormalement à se
faire e
ntendre et le procureur
syndical se trouve en
plein co
nflit dintérêt pour
défendre les griefs
du plaignant à cause
des poursuites contre
le sy
ndicat et de l’amie de
ur du procureur qui est
secrétai
re du syndicat chargé de le
défen
dre. Le plaignant adresse une requête au Tribunal
du T
ravail pour enfin pouvoir
faire
entendre ses griefs.
Ong
let 32)

Pendant
c
e temps, l’ex-leader syndical Michel
T
hériault devenu directeur-adjoint
va
accroî
tre sa pression sur
le plaignant pour l
ui trouver
des tra
vers et même en inventer
au
besoin. Le directeur
Coté va ensuite recomm
ander au Conseil
de se départir du plaignant
parc
e que ses griefs et plaintes
vont fin
ir par coûter
trop che
rs. Onglet 33)

Le mobbing
se p
oursuit à un niveau tel que le
serge
nt Vermette ira se plaindre au
direc
teur de l’impossibilité
d
appliquer le plan prévu
par Thé
riault sans risquer
de
prendre
une mauvaise décision. A sa perception, Vermette
a
dmet la stratégie de la
direc
tion de vouloir
tr
imballer le plaignant sur
les q
uatre relèves pour en
arriver au rejet
total du
plaignant et
justifier son renvoi
. Onglet 34)

Tant et si
bie
n que le plaignant
se
verra ensuite changé
d
équipe et la répression de
Thériaul
t continuera de plus
belle alors qu’il fera pression sur le
nouveau sergent pour
tenter
à tout prix de
trouver la moindre pecc
adille à reprocher. Onglet
3
5)

Larbitre
Gagnon en viendra
finalement à la
conclusion de trouver
normal que
la Ville
était justif
iée de mettre le plaignant à la rue parce
que celui-c
i navait pas renoncé à être
pol
icier et que la répétition
des incidents ano
dins en soi est porteuse
de
conséquences de
plus e
n plus sérieuses pour les
personnes
impliquées. (
Senten
ce arbitrale page 101)

Donc le
pro
blème nest
toujours pas résolu à ce jour
et cela
n’aura quaccentué
les
répercus
sions sur la santé physique et mentale
du
plaignant et de ses
proches puisque le

Page 3 sur
1
2

 

plaignant sest
fa
it rejeté de toutes les tribunes
e
t n‘a plus aucun recours que
d
abandonner ou de continuer
à dénoncer ce
système.

MOTIFS
D’INTERVE
NTIONS

Compromettre
la sant
é de la victime

Un bel exemple
qui fait ressortir le climat d’insécurité
dans lequel la
victime a été
confr
ontée. Le directeur Paterson
force le plaignant
à affronter alors qu‘il
est
seul,
plus de 75 motards, exigeant
de les ap
phender et de prendre
leurs coordonné
es dans
un endroit isolé
. Ensuite pendant que le plaignant
est fort occupé sur une scène
d’acci
dent avec blessés graves, il
exige du p
laignant, un
r
apport impossible à fournir,
pour ensuite sen plaindre
à deux occasions
. Ladjoint du directeur retire au
plaignant
sans j
amais le rencontrer, sa
responsabilité
de personne
ressource en informatique sous
prétex
te quil
do
it se consacrer à sa tâche de sergent, pour
ensuite lui reprocher de fa
ire
état
de ses sentiments
à son rapport
. Onglet 36)

Le policier
Tr
emblay cherchera à blâmer le plaignant
d
avoir exigé du subalterne Allard,
un ancien portier
de club
, bâti comme une armoire
à glace
, qu’il sassume lorsque
confr
onté à se rendre
au même endroit que
ci-décr
it, pour aller affronter un
se
ul
individu sur lequel
on ne pou
vait donner aucune autre
information supplémentaire.
Tremblay fera état
de sa réact
ion daller offrir du
s
upport.

On reprochera
ens
uite au plaignant de vouloir contrôler
les a
rdeurs des jeunes
policiers
surnu
méraires qui procèdent
à la saisie d
un autobus
scolaire
, faisant fi de linsécurité

ressentie par le plaignant
concernant le manq
ue de support quil
pou
vait s’attendre
d
obtenir de ses
supérieurs. On
voudra mêm
e faire
reprocher au plaignant le sentiment
d’ins
écuriressentie
par une femme qui a fait l’objet
de la
visite d’un rôdeur sous le
préte
xte quelle
p
ourrait se remettre en question
su
r ce qui a attiré le rôdeur. Onglet
37)

Discréditer
et discriminer l
a victime dans son travail

Lon
va
ensuite tenter de
re
procher au plaignant de ne pas vouloir
venir en aide à une
perso
nne âgée alors
qu’à notre arrivée elle r
espirait rapidement
probablement en état
d
hyper ventilation
al
ors que nous navons aucune
formation à cet effet
. Lorsque le
plaign
ant voulut sen
plaindre et demander
de filtrer
les appels
, plutôt que dy remédier,
on fait exprès
po
ur lui en confier plus. Onglet
3
8)

La consœur St
A
ndré démontre
en interpos
ant les personnages
dans son dialogue
, le
climat d
e terreur dans
lequel les membres d
oivent
vivre
, du climat malsain et des coûts
faramin
eux que cela va engendrer
et de l
impossibili
de son synd
icat à pouvoir le
défen
dre adéquatement
puisque tout simplem
ent en conflit
d
‘intérêt. Elle
démontre que
plus l
e plaignant est calme et conciliant
et p
lus la tension
monte. Comme la tension n’est
jamai
s relâchée, le plaignant tire du jus à tout le
mo
nde. Onglet 39)

Le policier
Plante
qui démontre que le plaignant
vit constamment dans un climat de
contr
ainte de poursuites
et que ça pourrait l’
affecter à
la longue de se faire rétrograder
injust
ement Onglet 40)

Le constat
du po
licier Monette qui
après av
oir mis en vain toutes ses énergies, de
concert
avec l
e plaignant pour tenter de le libérer de cette pression
mais
il lui est impossible de
faire en s
orte que le plaignant
ait droit à ses c
royances et de ne pas sêtre
laissé écrasé par
le grou
pe ou n’ait pas voulu décrocher. Onglet
41)

Monette
admet que le plaignant
prenait le s
oin de faire des
débriefings lorsque le stress de
la journé
e ou dautres
pressions le motivait. Parlant
du rapport d
insubordination imputé à
ses h
ommes, Monette semble admettre quil
s’agi
t dune réaction
prise par le plaignant
pour
démontrer l’incompétence de ses supérieurs
qui le mobbent en voulant faire p
artager
ses tourm
ents avec ses hommes. Monette démontre la
possibi
lité que même un
surnu
méraire peut exprimer librement sa frustration, ce
qui
n’est pas le cas avec la
directi
on versus
le plaignant
.

Page 4 sur
12

 

Appelé
à
trancher sur les insubordinations,
Daigneault
viendra dire que se sont les mêmes
vieux c
onflits qui perdurent
et qu’on souh
aite laisser tel
quel puisque l
on va ensuite
confi
er le plaignant à une
équipe qui vont d
ésormais prendre
sur eux de peser leur mots et
de se grug
er par en dedans. Onglet
41)

Arrive une
inc
ident qui vire en engueulade selon le témoignage
de Landry et à sa
perce
ption tant le plaignant
que son subalter
ne parlaient fort. Résultat, on
suspend et on
isole à no
uveau le plaignant
pendant qu
on laisse secrètement
rencontrer les subalternes
chez un p
sychologue en groupe. Onglet
42)

La volonté
de
vouloir isoler le plaignant se précise lorsque
le témoin Monette rel
ate la
volo
nté du subalterne Morin de vouloir volontairement
isoler le plaignant et la frustration
qui en ré
sulte sur le plaignant qui
laisse éch
apper: « Je me retiens pour
ne pas t’en
criss
er une. ». Témoignant
de la nature ino
ffensive du
plaignant
, il fait le constat que l’on
aurait du
en arriver
a
illeurs que dêtre obligé
de justifier un
renvoi
. Il allègue ensuite que
suite à l’
attitude de Morin
d’éviter le plaign
ant celui-ci la
tout simplement éconduit hors
des b
riefings pour un temps alors
que dans le
s faits, le
plaignant s
est expliqué avec
Morin et c
elui-ci a plutôt
été incité par le sy
ndicat à
monter en épingle cet histoire, trois
mois
plus tard pour justifier
de faire venir inu
tilement
la SQ faire enquête sur le
plaigna
nt. Morin se voit forcer
de formuler
une plainte du genre, « (Le
plaignant)
m’au
rait dit
d
e fermer ma gueule (V-42)
» Onglet
43)

La gravité
de la situation
s
amplifie lorsque selon le témoignage
de Landry, celui-ci avise
le plaign
ant «Va te faire soigner, Jean-Pierre,
ça presse parc
e que là, tas
un sérieux
problème
.[ . .}
J’ai une solution pour ça
il dit (citant
le plaignant)
qu’est-ce que tu
penserais si di
manche matin [
.
. } on vafaire venir des intervenants [. .. } pour
régler notre
problème.»
L
andry témoigne « .. je ne
régler
ai pas ton problème
moi, il
y a
des personne
s
compétentes
qui sont qualifiées pour ça. [
.
.} je suis rendu trop
vieux pour vouloir te
traverser …
» [ … ] «Si
j’avais été jeune, pas
de famille, pas
d
enfants, jaurais
peut-être
dit: ‘Mo
n pourri [. . .} tu
ne m’auras pas
[
. . .} de là
à me battre avec lui à tous les soirs

[. . .} Moi,
je ne suis pas payé pour ça
[
. .. }Je
ne veux
pas que tu aies des problèmes Jean-
Pierre, je veux changer d’équipe
[ . .} j’ai
arrê
té sur le bord de la route. J’ai
même
déclipsé m
on gun puis là je lai
regardé. Puis là, jase
. [ .. } je le
regardais, la main sur l
e
gun. Je me dis : « S’il me
tire il faut faire que
lque chose ... » « ... Je ne le
trust pas, du
moins je ne le trustais plus à ce moment-là.
[
] J’ai dit à Robert : « Comment tu t’es
senti?
» Il
dit: « Tabernouche,
je pensais bi
en qu’il allait nous
tirer
. » «Bien
t
as pensé
exact
ement comme moi. [
] jai été voir monsieur Paterson
[ ... ] J’ai dit
c’est fini
, Bien il
dit
: « Si
t
u veux changer
d’équipe, il faut q
ue tu fasses
un rapport[ .
.. ] Je n’ai jamais écrit
contr
e personne puis je ne
voulais pas écrire
contre personne. [ ... ]
Mais là pour ch
anger
d’équi
pe je n’avais
pas le choix; j’ai dit: « Je vais le
faire votre rapport »[ ... ]
on partait en
neuf j
ours ( de congé) le matin ». Au
retour
du congé, le
plaignant rencontra le directeur
Paters
on vers la fin
de sa journée de travail
pour se
faire suspendre et enlever son arme
sans l
ui en expliquer
l
es motifs. Larbitre
Gua
y accorda en
1994
, un symbolique 1000$
pour c
e geste à titre de
dommages exemplair
es bien qu’approuvant la mesure
comme tel
.
Onglet 44)

Or Pierre
T
remblay viendra
affirmer que sui
te à la suspension
du plaignant, le plaig
nant
était imprévisible
au point de pouvoir venir
faire une razzia au poste de police et que le
témoin p
ortait sur lui son arme 24
heure sur 2
4, sauf dans le bain et au parc. Onglet
45),

Vient ensuite
le montage du vol de lunette, en
jan
vier 96, où le témoin Robert Fournier
(celui qui
aurait dit: Tabernouche, je
pensais
bien quil allait
nous tirer) se comporte
comm
e un animal traqué et est
pris de paniqu
e lorsque le
plaignant lui dit simplement
avoir r
etrouvé ses lunettes
et ne fait que l
inviter à venir discuter avec lui. à
l’écart du
group
e. Fournier insinue
qu’il ne sait pas tr
op où s‘arrêtera cet acharnement
du plaignant
envers l
ui après s‘être fait
vérifier ses lunett
es deux
fois en deux ans, accusant le
plaign
ant de vouloir monter
un frame-up
. Onglet 46)

Le témoignage
de
Leclair qui admet avoir trouvé
sp
écial, le fait que le
plaignant lui ait
fait confi
ance pour lui avoir donné lopportuni
d’effectuer sa patrouille seul à

Page 5 sur
12

 

Lachenaie
a
vec sa ‘mapalors
que la directi
on n’avait prévu
qu
un seul véhicule à
Lach
enaie alors
qu
e cela faisait deux mois quil
pa
trouillait en duo. Onglet
47)

Les motifs
non él
ucidés de Leclerc qui après avoir
été mandé pour interveni
r rapidement,

admet avoir reçu instruction de vérifier des présumés
voleurs pour voir s
i ils ont pris
quelq
ue chose dans une voiture
saisie pour
ensuite prétendre
que le plaignant savait qu
ils
aient pris
un portefeuille et cherchait autre chose. Leclair
n
a jamais fait état de
portef
euille dans un
ra
pport ( V -87) contemporain
au
x faits. Onglet 48)

Les prétentions
farfelues de la déléguée syndicale
St-André de prétendre vouloir dissiper
des si
tuations qu‘il ne faut pas envenimer entre
le plaignant et lex-directeur
Paterson ou
l
adjoint Thériault
alors que le plaignant en est
r
endu de manière discriminatoire à
défen
dre son emploi en
plus de son grade a
près six ans de mobbing suite à
la néglig
ence
de fair
e réduire ces tensions
tant par l
administration que par son
syndicat
. Onglet 49)

Laveu de
l
agent Leclair
que le plaignant se
plaçait hors norme
en se donnan
t la peine
dexercer
son mé
tier sans
d
iscrimination
pour tenter délucider des
crimes d
‘incendiats
alors que p
ersonne ne se donnait la peine den
e
nquêter. Onglet 50)

Versus

La position
du p
laignant de ne pas pouvoir imposer
ses vues sur la
police si il demeure
gradé
.

Versus

Les prétentions
inquiétantes de Jean-Guy Vermette
et Gratton d‘insinuer
que le plaignant
devait
avoir des perceptions
anormales de n
e pas considérer lhypothèse
d
un meurtre
lors d
e la disparition d’une
personne âgée
, résidant dans un repaire
à motards Onglet 51)

Versus

Ne pas
r
apporter lincident
et le manque tot
al d‘implication
de Vermette et als
à s’investir
dans c
e dossier, notamment
su
r le fait que des jeunes
enfant
s se trouvent en
présence d’un
pédophil
e. Onglet 51)

Versus

Lénergie
con
sacrée par ladjoint
Denis Mo
nette et Jean-Guy Vermette
à vouloir coincer
coûte qu
e coûte le plaignant
dans une in
tervention daide
à u
n citoyen aux tendances
suicid
aires, en voulant le
tenir
responsable dêtre
intervenu seul et de ne pas sêtre
rappo
rté. Onglet
52)

Versus

Lenfant oublié

Ladmission
subtile de
Plante de ne pouvoir
assister
le p
laignant lorsque la situation
se
présen
te mais de le faire que
lorsqu
il ny a pas dautre
issue
s .. Onglet 53)

Versus

Lordre
donné par le directeur Paterson
d
intervenir
sans motif auprès de 75 motards pour
ensuit
e blâmer le plaignant
de ne pas avoir f
ait rapport. Onglet
3
6)

Versus

Les prétentions de
Vermette qu’il vaut mieux arrêter
un ind
ividu et le traduire au poste
lorsqu
e l’on ajuste des soupçons
versus ses
agissements envers
le pla
ignant dans laffaire

L. et d’autres arrestations
effectuées par le p
laignant.

Onglet 55)

Page 6 sur
12

 

Le témoignage
de Ve
rmette à l’effet qu’il sait qu‘il ne ussirait
pas à trav
erser le
plaignant et quil
conse
nt à ce que ce soit comme
u
ne «game» d’échec pour y parvenir
et
adm
et que le plaignant a sa philosophie et devra
la
changer comme les autres.

Onglet
56)

Versus

Les reproches
de
JP Monette à l’effet que le plaignant
chercherait à imposer sa
philo
sophie comme policier
alors qu
il est sergent gardien
des normes selon Daign
eault.
Ongl
et 41)

Versus

Ne pas
sui
vre les recommandations
de
Talbot qui s‘oppose à
ce que le plaignant,
en plus
de so
n travail, puisse
p
orter assistance à son
collè
gue Tessier et les reproches de l’arbitre
au pl
aignant de ne pas avoir
suivi les recom
mandations de Talbot pour motiver le renvoi

du plaignant. Onglet
54)

Versus

Ne pas
a
voir suivi les recommandations
du
responsable des enquêtes
Yves
Beauregard

Le responsable
de
s enquêtes et du syndicat
Y
ves Beauregard admet que le plaignant
ne
faisai
t pas ce qu‘il lui demandait: « on aurait
dit qu
e c’était son
kick d
interroger
d
es
s
uspects puis
d’avo
ir des résultat
pour ensuite le bannir à vie
des enquêtes après trois
semain
es dessais sur les
six mois habituels
et parce que
Beauregard ne réussissait pas à
imposer sa philosophie au
plaignant
. Onglet 57)

Versus

Le blâme
du responsabl
e des enquêtes contre le plaignant
de ne pas avoir fait appe
l à 1 a
S
.Q. sous prétexte que
ce n’était pas de la compétence
du plaignant versus le fait de ne
pas pr
endre de mesures
envers l’agent Trem
blay qui
après avoir admis son manque de
comp
étence à intervenir, a
saisi sur place d
e la poudre suspecte sans savoir de quoi
il en
retour
ne. L’on cherchera ensuite
à blâmer le
plaignant
pour s
être débarrassé de ladite
poud
re.

Le témoignage
de
l’agent Tremblay qui prétend avoir
rencontré de son initiative le
syndi
cat et sêtre fait conseillé
par celui-ci
de faire une
déposition expliquant les f
aits au
direc
teuradjoint versus
sa déclaration non
déposée en preuve en arbitrage qui démontre

au contraire que c‘est
l’adjoint
Daigneault qui prend initiative
suite à des pressions qui ne
peuve
nt que venir du
syndicat ou
le bureau des enquêtes (ce
qui est la même chose)

Le témoignage
de
l’agent Tremblay
insinua
nt que le plaignant veuille lui faire porter le
chap
eau alors que manifestement
il cherch
e à camoufler tant dans son rapport que dans

son témoignage qu’il a appelé le
plaignant es
sentiellement
pour interveni
r concernant un
cockt
ail Molotov. Ce n‘est
que s
uite à l’expertise menée par
le plaignant que la
conc
lusion quil s‘agissait
d’une bom
be artisanale a pu être
indiquée au rapport
. Onglet
58)

Le témoignage
de
l’agent Tremblay qui prétend
que
le plaignant s’est contenté d’un
rappo
rt dassistance au
citoyen plutôt que d
e violence
conjugale
. Il laisse entendre que le

plaignant qui est pilote, avait des affinités avec
le
violenteur qui était aussi pilote d’avion
comm
e lui et qu‘ils
se comprenaient
. L’intimé conclut qu’il n’y a pas eu darrestation
ni
d
accusations de
violence conjugale. de
porté
es. Alors que les pièces F53 V25 V26 V24
démontr
ent quau
contraire des accusations ont
éportées et que l’on exerce de la
discri
mination et du discrédit
su
r le jugement du plaignant
à ne pas juger nécessaire de
prendr
e une déclaration contre
l’
accusé qui plaida coupable
par la suite
. Onglet 59)

Le témoignage
de
l’agent Landry qui prétend
qu
‘il n‘aimait pas ma façon d’agir et d’opérer
et pre
nds à titre dexemple
une arrestation au
cours de
la nuit de deux jeunes susp
ects qui
ont été
aperçus suite à une
introduction par
effraction. Il
me reproche d’avoir interrogé

Page 7 sur
12

 

deux jeunes
aprè
s les avoir séparés et de les avoir
r
elâché après une demi-heure. Les

jeunes étaient
tout surpris de se
faire arrêter
par la police. Onglet
60)

Le témoignage
de
l’agent Tessier qui démontre
qu‘il n’avait aucun intérêt à sintéresser
à
recou
per de l’information
sur des plaintes d’
exhibitionnisme
survenues en soirée
,
préférant s‘en tenir
à s
es préjugés vis à vis le plaignant et
qui consistent à croire que ce
derni
er a exercé une
arrestation par préjugé
. Onglet
61)

Le manque
d
‘intérêt de lagent Talbot à enquêter des
individus qui profitant de la nuit
sont r
etrous en possession de palettes de bois
e
t lon cherche à reprocher au
plaignant
de vou
loir intervenir. L’intimé laisse entendre que
d
es suspects on pris des palettes dans
les vi
danges sans permission. Il
veut jus
te identifier les individus et leur
faire remettre le
butin su
r le bord
d
u chemin puis attendre s’il y a des
pla
intes. Il prétend faussement que le
plaig
nant ne portait
pas plainte sous prétex
te qu‘il
s
‘agissait de vidanges. Onglet 62)

Le témoignage
de
Robert Fournier qui reproche
à son sergent dêtre
le seul à préconiser
l’arres
tation des personnes
pour faire cesser
une infraction de musique forte. Lui
et son

, équipe
s
ont contre cela. Il
préconis
e de saisir les objets. Et
lorsque le sergent le disait
,
ça passait pas.(3418
ligne 3
19) Il trouvait que son
sergent manqua
it de décision(
3420) .
.. Qu‘il ne savait pas
s’Il devait le faire
comparaitre devant un juge
de paix (3419)
Ongl
et 63)

Le témoignage
de
l’agent Talbot qui raconte
à
sa manière un incident de méfait
sur
abrib
us en laissant
croire que je l’arrêtais just
e pour lui
soutirer des aveux parce qu’il étai
t
le seul à ne pas avoir
avoué sa participation
à un méfait.. Que
j’aurais titré l’incident
comm
e tentative de méfait. Onglet 64)

Le témoignage
de
l’agent Daniel Fournier qui prétend
que sans avoir de motifs j’ai
procé
dé à l’arrestation d’un
suspect de méfai
t public et
conduite en état d’ébriété et que je
lui ai
offert de faire un
tour de val
ise. Onglet 66)

Le
s
ergent Vermette qui
donne l’ordre de n
e pas arrêter
une femme à moins de faits
nouv
eaux. Sans s‘informer
d’aucune manièr
e par la suite des motifs d’arrestation, à
son
subalt
erne, il lire AL. sans
même lui faire
signer une promesse de garder la paix,
entreprend des discussions
avec l’avocat sans
même connaître
quels son
t les faits
nouveaux,
et lui promet
d’élargir le soir mê
me les prévenus
sans consultation préalable
.
Onglet 66)

L’agent
Dutil qui affirme d’une
part que le
plaignant a dit au père dun
prévenu
: « Si
vous
n’arrê
tez pas de parler,
je vous mets une en
trave sur
le dos!» p
. 3928 para 915 pour
ensui
te prétendre que
le plaignant a dit au
père du suspect P.R.: « Ferme ta
gueule sinon
je te
mets une entrave sur le dos» Onglet 66)

Le témoignage
de l
agent Tessier qui relate une scène
d’inter
vention du plaignant auprès
d’un récal
citrant qui se trouvait à bord dun
v.T.T. non immatriculé et sans permis de
conduir
e et qui refusait
d
obtempérer pour se faire identifier
de façon sécuritaire et la
plain
te qui s’ensuivit
du suspect à la direction policière
qui conclut de blâmer l
agent
Tessi
er de son inaction dans
ce dossier
. Onglet 67)

Le témoignage
de l
agent Morin qui relate une sne
d
intervention du plaignant auprès
d’un i
ndividu ivre qui
est ass
is par terre les menottes dans le
dos et accoté sur un mur
,
afin de selon
l
ui, le forcer à sidentifier. Le
p
laignant
intervient pour
le relever ( «ça
monté d’
un cran») et lui
enlever ses menotte
s ce qui
a permis à
l’individu de décliner son
identité
après avoir
été libéré de sa contrain
te inutile. Onglet
68)

Le témoignage
d
e lagent Allard qui prétend avoir été
témo
in que le plaignant a exercé
des vo
ies de faits
con
tre un individu tonitruant pour ensuite
ne jamais s’en plaindre et
mêm
e en rire pour ensuite
remettre cela en
surface lorsque vient
le temps de just
ifier le
renvoi
du plaignant. Onglet
69)

Page 8 sur
12

 



 

La
tactique de torture psychologique criminelle exercée par la direction policière
de vouloir trimballer le plaignant sur chaque équipe afin d’obtenir un rejet
final de tout le monde sans jamais prendre des mesures pour dissiper le
conflit. Onglet 70) 71)

Pierre Daigneault
qui voulant décrire la personnalité
du plaignant a
ffirme n’être
nulle
ment surpris d’entendre
qu’il se verrait s
ous peu actionné par le plaignant,
non plus
surpr
is que cela soit dit
de façon aussi anodine quune
conversation banale
. Onglet 72)

Michel
Thériault qui prétend
que le plaigna
nt l‘a menacé de
le poursuivre lui et la
Fr
aternité pour 75000$ si
il n’acceptait pas
de fournir
au plaignant l
avocat de son choix
autre qu
e Me Alain Rousseau. La
vérité éta
nt que le
plaignant a du débourser quelque
milli
ers de dollars en avocat
simplement po
ur justement
finalement venir à bout d’obtenir
Me
Rousseau un avocat de
la Fédération po
ur prendre en
compte ses griefs
. A ce jour le
synd
icat a toujours
refusé de rembourser le
plaignant. Onglet
73)

La
m
émoire sélective de
Lana Ferrara qui ac
cuse le plaignant
d’avoir une mémoire
lective sur de soit-disant
événemen
ts survenus en 1986 voulant laisser croire
que le
plaig
nant laurait contrainte
à faire quelque c
hose contre son gré. Pour
ensuite même
préte
ndre avoir peur d‘être
coincée dans la
même pièce que
le plaignant, de lui attribuer
un vi
sage démoniaque,
prétendre que le plaig
nant la menaçait de
l’actionner pour rien en
regar
d des allusions qu‘elle
refusait tout prix
de voiler
et
finalement témoignant du
mêm
e coup quelle lui
a dit qu’
elle ne
sest jamais fait menacer
ava
nt et que ça ne
reste
rait pas là. Onglet 74)

Le témoignage
de
Michel Gratton qui allègue que le
plaignant l’avisait avoir porté une
pl
ainte à la direction en
regard de son attitu
de. Qu‘il
ignora
it le motif de la
plainte, ne pas
voulo
ir la savoir et qu‘à
ce jour il ignore to
ujours
de quoi il en retourne. Onglet
75
)
versus la prétention
de
Bernard Sauvé qui prétend
qu’une des raisons pour lesquelles il
refusai
t de travailler
avec le plaignant te
nait au motifs
que j’avais fait son enquête après
son
embauche en 1979,
et que je lui avais di
t que c‘était
grâce à moi si il fa
isait toujours

partie de l’organisation,
et qu’il percevait ce
message
comme étant une épée d’Amoclès
.
Onglet 76)

Le témoignage
d
e Gaétan Dutil qui affirme avoir assisté
co
ntrairement à son habitude à
une
enquête amorcée par
le plaignant aux m
otifs qu’il
n’aimait pas le dossier et qu’il
allait y ê
tre impliqué contre son choix. Il
a
llègue que des actes répréhensibles auraient été
com
mis par le plaignant
sans toutefois que l’
on intervienne
en conséquence malgré sa
dén
onciation. Alors
q
uau contraire lon suspend
le plaignant pour avoir procédé à
l’arre
station dune personne
ayant part
icipé à un méfait en représailles
à un conflit
de
fami
lle très aiguë. Une
pré enquête démontrera qu‘il y
avait un mot d
ordre pour
empêch
er le plaignant de
piloter quelque d
ossier que ce soit
à la co
ur afin que le
plaig
nant ne puisse obtenir
du temps s
upplémentaire
qui le mettrait en position de se
déf
endre contre son syndicat
et également
de se mettre en valeur, ce
qui nu
irait à trouver
des m
otifs de renvoi.

Onglet
77
)

Le témoignage
de
JeanPierre
Leblanc qui p
tend que le plaignant a cherché
à le
provo
quer après lui
avoir dit
: «Je vais t’essayer» p2504
Ensuite i
l allègue avoir
consig
né sur ses notes
que je lui aurait avo
ué me sentir
persécuté par mes confrères
com
me s’ils m’en
v
oulaient pour ensuite témoigner
à l’effet contra
ire que ce sont eux
qui s
e sentaient persécutés
à cause de mes n
otes. P2505

onglet
78)

L’agent
St-And
ré allègue que le 31 décembre
1
994, le plaignant après s’être plaint de la
lente
ur à régler
s
es griefs, lui aurait dit:‘ On va gler
ces griefs
là parce que là j’ai besoin
de v
ous autres avec les
avocats, puis tout ç
a. Puis
a
prèsca, – il dit- là je vous fesserai sur
la tê
te avec l’action
q
ue j’ai contre vous autres,
le syndicat
. .. ‘Je trouvais que ça sonnait
casseau
Il sagit de
ma représentente syn
dicale
qui témoigne contre moi pour justifier
mon r
envoi. Elle inverse les rôles dans les
pr
opos tenus puisque c’est elle qui a dit plutôt
selo
n mes notes: ‘Qu‘ils
faisaient de leur mie
ux pour
me défendre
, que ça leur coûtait cher
et que c
omme récompense ils
se verraient a
ctionnés en se faisant
taper dessus
.‘ Pendant
ce te
mps elle était la
conjointe secrète de l
avocat
qui m’avait été ass
igné pour défendre

Page 9 sur
12

 

mes
griefs.
Et la lettre de
désaveu de l’intim
é V61 aurait
ét
é rédigée par Me
St-Arnaud
de la
Fédération des policiers.

Onglet
79)

Lors dune
réunio
n syndicale, le 05 juin
1992,
Michel Thériault leader
syndica
l devenu
direct
eur-adjoint avoue avoir
empêché le pl
aignant de prendre la
parole pour connaître les
motif
s qui justifiaient
l‘envoi d’une lettre de saveu
qui concernait le plaignant
, à son
empl
oyeur. Il prétend
faussement que la réunion était
terminée et cite
: « ... Il a voulu
pren
dre la parole mais
je lui ai dit que l’assem
blée était
terminée
. Pourquoi? Ç’est simple,
c’est que j
e ne voulais pas que monsieur Légaré commence
à men
acer, intimider,
s’obstiner avec
tout le monde dans lassemblée,
je n’en voulait pas de ça
. Puis même
d
ailleurs, il
a trou
vé le tour avant de partir, il a menacé
tous les gars, que ça rester
ait pas
là et
qu‘ils les poursuivrait. »Le
plaignant s
‘est vu refusé toute
explications sur les buts
de l’e
nvoi de la lettre et
refuser de pren
dre la parole
juste a
u moment où lon
s’apprêtait à
pass
er au vote pour approuver
l’envoi de la l
ettre V61. Enregistrement
disponible sur
cass
ette.

Onglet
80
)

Alors que l’on
cherche délibérément à vouloir
fa
ire passer le plaignant comme un
irrati
onnel à cause de ses
croyances ou d
expériences
qu
il a entreprises il y a
vingt ans
avec
un pendule. On
cherche à lui reprocher de faire
appel à la fib
re religieuse dune
pers
onne alors qu‘il s’agit
d’
interventions pour chercher
à résoudre des problèmes
hum
ains auquel la police na
pas de réponses.
Onglets 81,82, 83, 84, 85, 86, 87, 88)

Lavocat
de la
Ville Me Richard Provencher qui
p
rétend avoir entrepris
de nombreuses
discu
ssions avec les procureurs
fournis par
la Fédération pour
t
enter de liquider le

dossier. La
dern
ière tentative s’étant soldée par
un échec avec Me François Beaudry
qui
fut ré
cusé par le plaignant
par la suite
. Onglet 89) Pratiquement
3 ans après avoir été
injust
ement retiré
de l
a responsabilité d’une
relève, il ny
avait toujours pas d
arbitre
nom
mé au dossier pour
s’occuper des griefs
. Pire encore,
l’a
vocat attitré au plaignant par
la Fé
ration nageait en
plein conflit d’intérê
t à cause
de la poursuite du plaignant contre
le syn
dicat et parce qu’il était secrètement conjoint de
l’agt S
t-André qui elle
faisait

partie l’état major
du
syndicat .. Justement
c
elle qui disait qu‘ils faisaient
de leur mieu
x
pour défendre le plaignant
et qu
ensuite celui-ci leur fesserais sur
la tête
. Voir Onglet 79
3372 Fi
nalement en octobre
95, l’avocat M
e Rousseau vilipendé par
le syndic adjoint Me
Nicol
e Dufour du Barreau pour conflit d’intérêt
fu
t forcé de se retirer
du dossier
. Un mois
plus t
ard, le plaignant formule une requête en
vertu de lart 47,3 et
47
,4 du Code du
travail p
our forcer son
syndicat à lu
i fournir un avocat
de so
n choix. En réaction
à cette
requ
ête, la Fédération
l
ui désigna alors Me François Beaudry qui est
fils du juge René
Bea
udry au tribunal du
Travail c
.a.d. là où la requête
allait être entendue
. En attendant, le

8 février 1996, Me Beaudry
tenta de régler
le dossier avec
la Vill
e. L’on écarta d’emblée
la re
traite anticipée, le plaignant
abondait à
lidée dun quantum
partagé 50% 50% entre
la Vi
lle et la Fraternité. Dès
qu’il constata
que le plaignant était
récep
tif à cette approche,
Me Beaudry engagea
une conversation tél
éphonique
avec Me Richard Provencher
. Par la
suite,
Me Beaudry se mit à prétendre que suite
à lincident des lunettes, la
Vil
le était sur

le point
de congédier
le plaignant et lui reco
mmande
d’alle
r consulter un médecin pour se
protéger
. Le plaignant doit lui faire
confianc
e car selon lui
il pourrait souffr
ir de paranoïa
dél
irante. Me Beaudry tente
de faire adm
ettre au plaignant quil
aurait eu des visions en
voy
ant ses initiales
s
ur ses lunettes qu’il considérait
comme étant les siennes. Me
Beaudry
baissa la
mise du tiers affirmant qu’il ne voyait
p
as comment il pourrait
exiger ce montant
de la Vi
lle. Il prétendit
que le plaignant aur
ait un
voile qu
i l’empêche de voir et que ses
pours
uites en sont un
signe et qu’i
l risquait de tout perdre si
i
l attendait d’en arriver au
renvoi
. Avant de quitter le
bureau il lui
dit:« protège toi avec un papier de médecin, tu
l’auras e
n poche». Peu après
Me Beaudry c
ontacta le
plaignant pour s’informer s’il avait
com
me convenu été consulter
un médecin
. Le plaignant lui admit être
plutôt atteint de
«nauséite enculante»
et qu’il était désorma
is brûlé
pour le rep
résenter. Voilà en quoi
con
sistait la dernière
négociat
ion qui comme le soutient Me Provencher
«a reviré de
coté»
.

Le directeur
Co
té qui allègue que plus le plaignant
resterait
à lemploi de la Ville de
Mas
couche, plus
longtemps
il ferait des griefs,
i
l faut quil quitte
... Onglet 89) Ensuite le
proc
essus de négociation du gérant Luc Tremblay
onglet 90) pour en arriver à la

Page 10
sur
12

 

pOSIe ue
pU
llcœr SeLIIS securue U t::1J11JlU1
yU1 UUl
l cu C~Ui1UI$C lCUUUvCl i1 lUU~ ~C~
1$1l
C.L~ cu
échange de pouvoir conserver son emploi. Onglet
91) L’on constatera que l’offre
parviendra au plaignant le jour même de la sortie de la décision du T
ribunal
du travail qui
force la Ville et le syndicat à faire trancher les griefs du plaignant
. La
pièce inédite
JP-
163 démontre que la teneur du jugement a été télécopiée du
Tribuna
l du Travail à la
Fédération des Policiers du Québec sept jours avant la réception du jugement
par tous les
partis.

A la suite
de quoi le plaignant a été jeté à la rue sans aucune compensation le mardi du 5

novembre 1996 et maintenu suite aux témoignages et par la sentence arbitrale
qui en
résulta le 17 mars 1998
. Le syndicat se réfugiant derrière
l’avis de ses procureurs de la
Fédération des policiers du Québec refusa d’attaquer la sentence manifestement
déraisonnable où l’arbitre se substitue à la décision de l
employeur
et maintien une
rétrogradation sous prétexte que le plaignant n’aurait pas pr
is
toute l’information avant
d’adresser quelques reproches
: ‘Bienvenue
à Terrebonne.

Or
l’arbitre admet lui-même dans sa décision qu’il n
était
pas en mesure d’obtenir toute
l’information qu’il aurait souhaité comme le fait de mieux connaître les c
irconstances
qui
ont emmené le psychologue de l’Institut de Police de Nicolet, mandé par la
Ville afin de
sonder le plaignant
, qui aurait déclaré devant les
subalternes du plaignant qu
il valait
mieux s’éloigner du plaignant pour sauvegarder sa santé mentale et physique
.

Au cours
de l’année 2001
, le plaignant prenait connaissance que sa rétrogradation et son
renvoi était fictif n
ayant pas été réellement approuvé
par le Conseil municipal
. Appelé à
préciser sa position, le gérant
Michel Gobeil avisait le plaignant le 30 janvier 2002 qu’il
considérait au nom du Conseil que le lien d’emploi avait été rompu par la
sentence
arbitrale du 17 mars 1998
. Depuis le
15 février 2002. le syndicat refuse d
intervenir
et de
faire grief sur cette prise de position sans vouloir donner de motif quelconque
ni même
vouloir prendre connaissance d’une requête en vertu de 47
,2
qui leur a été expédiée le 21
septembre 2002.

Le 25
juillet dernier, malgré l
état
financier très précaire du plaignant en situation de
préavis d’exercice de droit hypothécaire, le Tribunal du travail refusait d
accueillir
une
requête préliminaire qui faisait état que le lien d’emploi était sauf, que le
plaignant n
était
plus lié par la sentence arbitrale qui datait de plus de trois ans et que
malgré tout le
syndicat refusait d’intervenir
. La juge
Suzanne Handman refusait d’accueillir la requête

et de
forcer les partis
à retourner en arbitrage malgré que
le plaignant ait annoncé que des
preuves documentaires avaient été soustraites de la preuve fournie à l’arbitre
et était prêt
à les fournir sur le champs aux partis en présence.

Le 03
septembre 2002 le plaignant se voit forcé de vendre à vil prix
le
patrimoine familial
pour en éviter la saisie par le créancier hypothécaire
. Le
16 septembre suivant c’est
l’épouse du plaignant qui meurt des suites de complications d
un
cancer qui apparut à la
suite de ce marasme qui la maintenait dans un état de dégradation permanent
. LAide

juridique refuse d’accorder mandat au plaignant sous prétexte que cela
coûterait trop
cher.

Le 26
novembre 2002, la juge Suzanne Handman refuse de ré-inventorier la preuve
documentaire soumise pour se contenter de la recevoir en vrac du soussigné
. Elle
prend
connaissance d’une résolution de Conseil authentique qui atteste que
le
renvoi du
plaignant est fictif Elle note le refus absolu du syndicat et de la Ville à
prendre part à une
conciliation et de persister
à se
rabattre sur une requête en rejet pour prescription alors
que manifestement le viol en vertu de 47,2 est continu et quotidien en ce qui a
trait
à
l’accommodation de
son membre par le syndicat
. La cause
est prise en délibéré et en
attendant, le soussigné doit s
en
retourner bre
douille et pratiquement sans
ressources
.

Depuis le
décès de son épouse le plaignant se voit refusé d
être
reconnu comme légataire
universel malgré la requête de vérifier le testament qui en atteste, on lui
refuse accès aux
comptes de banque
, on trouve prétexte pour ne pas lui remettre
les indemnités
d’assurance ou les indemnités de décès empêchant du même coup le plaignant de
pouvoir
se défrayer le coût d’un avocat pour l’assister au Tribunal du Travail
.

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