Le MAMROT Pas dans ma cour

Le refus de lever le petit doigt du Ministère des Affaires Municipales pour juste vérifier la validité d’une résolution de Conseil d’une municipalité.

Monsieur,

J’ai bien reçu votre demande du 11 septembre 2009 concernant votre destitution à titre de policier de la Ville de Mascouche.Soyez assuré que votre correspondance sera traitée avec toute l’attention qu’elle mérite. Pour toute information supplémentaire, je vous invite à me contacter.

Veuillez agréer, Monsieur, mes plus sincères salutations.

Gérald Fleurent
Coordonnateur au traitement des plaintes
relatives aux municipalités
Bureau du sous-ministre
Ministère des Affaires municipales, des Régions
et de l’Occupation du territoire
10, rue Pierre-Olivier-Chauveau
Québec (Québec) G1R 4J3
Téléphone : (418) 691-2040
Télécopieur : (418 644-9863 

J. Pierre Legare <plegare@gmail.com> 21 septembre 2009 11:51 À: Gerald.Fleurent@mamrot.gouv.qc.ca
Monsieur, Je vous remercie d’avoir pris l’initiative de me rejoindre par téléphone. En guise de suivi, puis-je avoir votre confirmation écrite que vous avez pris décision de ne pas entreprendre la moindre démarche pour m’aider concernant cette demande du 11 septembre 2009 qui vous a été formellement adressée. Si votre ministère ne s’occupe pas de formalisme et de l’application de la Loi des Cités et Ville, je vous serais gré de m’indiquer à quel ministère je devrai m’adresser. Merci d’accorder toute l’attention que cette demande mérite.
J. Pierre Legare
J. Pierre Legare <plegare@gmail.com> 11 décembre 2009 16:13 À: Gerald.Fleurent@mamrot.gouv.qc.ca Montréal ce 11 décembre 2009 Sous toutes réserves, Monsieur, Je confirme par les présentes avoir reçu votre courrier daté du 4 décembre 2009, me confirmant que vous auriez rejeté ma plainte sans prendre la moindre disposition et bref rejetant la requête avec la même attitude ou conscience sans doute tout comme votre supérieur l’aura fait s’il s’agissait de maintenir ou non votre emploi. Je crois qu’effectivement il y aura lieu de vérifier plus amplement et de considérer toute l’attention que mérite ce dossier. Veuillez agréer, Monsieur, mes plus sincères salutations. J. Pierre LEGARE