Comment peut-on avoir été « acquitté» le 14 juin 2017, de s’être présenté le 16
juin 2006, en flagrant délit dans une tenue de policier en pleine cour, et après
avoir été dépouillé de son uniforme par les constables spéciaux, identifié, libéré
puis revenu dument cité par le juge d’une infraction de personnification de
policier?
Pourquoi alors l’avoir accusé d’entrave pour ne pas avoir consenti à la
saisie de son véhicule alors que le « dénonciateur» admet à même son
rapport que l’accusé mène une enquête concernant la S.A.A.Q. qui va à
l’encontre d’une ordonnance résiduelle « sans importance» selon les
policiers?