La hâte soudaine à congédier "avant" la décision du Tribunal du travail

La hâte soudaine du gérant de la ville Luc Tremblay à congédier « avant » la décision retenue du Tribunal du travail sur une requête adressée au tribunal du travail pour le conflit d’intérêt du syndicat à défendre  son membre et lui assigner un avocat libre de tout conflit d’intérêt.

17 octobre 1996 Le prêt de 21000$ consenti à la victime en 2 ème hypothèque, pour espérer payer ses frais d’avocats sur une requête en 47,2 en attente de jugement;

  • L’admission en témoignage de Luc Tremblay préalable au 23 octobre, que le jugement ne servirait qu’à établir et choisir quel avocat s’occuperait de défendre des griefs en stagnation depuis trois ans;
  • L’admission en témoignage de Luc Tremblay QUE LE DOSSIER DANS SON ENSEMBLE RESSEMBLE À UNE CONSPIRATION CRIMINELLE;
  • 21 octobre 1996 L’ultimatum « daté 21 octobre »envoyé le 23 octobre 1996, enjoignant à la victime d’abandonner ses griefs et sa sécurité d’emploi pour éviter son congédiement;
  • 22 octobre 1996 L’assignation imminente en discipline du psychologue de Nicolet soupçonné par son propre syndic d’avoir prodigué une job de bras à la victime pour lui soustraire son emploi avec des expertises qui seront toutes rejetée par l’arbitre par la suite;
  • 23 octobre 1996 La sortie du jugement pour la requête en 47,2 qui oblige l’employeur et le syndicat de débattre des griefs qui stagnent depuis 3 ans;
  • 23 octobre 1996 13:40 La sortie du jugement télécopiée coulée en douce au procureur du syndicat chargé de défendre une objection préliminaire en irrecevabilité;
  • 23 octobre 1996, 16:00 La tentative d’acheminer l’ultimatum de renvoi par huissier;
  • 24 octobre 1996 L’envoi d’ultimatum par huissier,  d’une missive identique mais datée cette fois du 24 octobre 1996;
  • 25 octobre 1996 La victime qui apprend du délégué syndical de la teneur du jugement et qui en informe son procureur;
  • 26 octobre 1996 La tentative du procureur de la victime à connaître la teneur du jugement par huissier qui se voit refusée;
  • 27 octobre 1996 La tentative de justifier un renvoi disciplinaire, écartée puisque  fondée  sur  un montage criminel de disparition d’argent versé en collection de mandat que l’on essayera d’imputer à la victime;
  • 31 octobre 1996 La « réception officielle » de la teneur du jugement à la Ville et la hâte de traiter la victime d’être de mauvaise foi malgré le jugement qui confirme l’arrivée en poste du nouveau procureur assigné par le syndicat;
  • 4 novembre 1996 Le « renvoi » dûment proposé et secondé par aucune personne désignée pour prolonger un renvoi administratif;

 

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